Vendre son cerveau Par : Emeline Magnier | Le : 2013-06-12 15h00
Le développement des affaires est une question cruciale pour les avocats. Un coach vous explique en quelques leçons comment élargir votre clientèle sans vous faire passer pour un vendeur de voitures…
Le 27 mai dernier, Stéphane Deslauriers, professionnel du coaching et développeur de marchés, a sorti son premier livre intitulé: Vendre son cerveau, le développement des affaires pour services professionnels.
Les besoins en développement des affaires sont particulièrement criants chez de nombreux professionnels dans le contexte économique qu’on connaît.
« On ne peut plus se contenter de distribuer des cartes d’affaires et d’attendre que le téléphone sonne », dit Stéphane Deslauriers.
Avec son titre accrocheur, il veut faire passer un message. « On ne choisit pas un avocat ou un professionnel comme on choisit une laveuse ou un chaudron », dit-il.
Selon lui, quand une personne a recours à un avocat, il achète une personne au complet, son expérience mais aussi ses valeurs. Ce qui fait la différence, c’est la relation de confiance instaurée avec les clients potentiels.
« Il faut créer un déclic chez la personne en face de vous, qui fera qu’elle aura envie de vous revoir », explique l’auteur.
Votre méthode
Son livre se veut différent de tous ceux qui ont éclos sur les étagères des librairies au cours des derniers mois. « Ce n’est pas une méthode pour faire du développement d’affaires. C’est un accompagnement pour bâtir sa propre méthode », souligne l’auteur.
Présenté sous forme de « mini sessions » de coaching, l’ouvrage propose 25 réflexions divisées selon le niveau de chaque professionnel en matière de développement des affaires: débutant, niveau avancé, et pour le patron qui veut encourager ses employés dans ce sens.
Chacune des sessions expose un cas concret, une leçon de coaching, une question et un exercice à faire. « C’est un livre de pratique, il n’y a pas de recette magique, chaque personne étant par nature différente », dit Mr Deslauriers.
Article Paru dans Droit-Inc le 12 juin 2013. Pour lire l’article complet cliquez ICI.
Vendre son cerveau Par : Emeline Magnier | Le : 2013-06-12 15h00
Le développement des affaires est une question cruciale pour les avocats. Un coach vous explique en quelques leçons comment élargir votre clientèle sans vous faire passer pour un vendeur de voitures…
Le 27 mai dernier, Stéphane Deslauriers, professionnel du coaching et développeur de marchés, a sorti son premier livre intitulé: Vendre son cerveau, le développement des affaires pour services professionnels.
Les besoins en développement des affaires sont particulièrement criants chez de nombreux professionnels dans le contexte économique qu’on connaît.
« On ne peut plus se contenter de distribuer des cartes d’affaires et d’attendre que le téléphone sonne », dit Stéphane Deslauriers.
Avec son titre accrocheur, il veut faire passer un message. « On ne choisit pas un avocat ou un professionnel comme on choisit une laveuse ou un chaudron », dit-il.
Selon lui, quand une personne a recours à un avocat, il achète une personne au complet, son expérience mais aussi ses valeurs. Ce qui fait la différence, c’est la relation de confiance instaurée avec les clients potentiels.
« Il faut créer un déclic chez la personne en face de vous, qui fera qu’elle aura envie de vous revoir », explique l’auteur.
Votre méthode
Son livre se veut différent de tous ceux qui ont éclos sur les étagères des librairies au cours des derniers mois. « Ce n’est pas une méthode pour faire du développement d’affaires. C’est un accompagnement pour bâtir sa propre méthode », souligne l’auteur.
Présenté sous forme de « mini sessions » de coaching, l’ouvrage propose 25 réflexions divisées selon le niveau de chaque professionnel en matière de développement des affaires: débutant, niveau avancé, et pour le patron qui veut encourager ses employés dans ce sens.
Chacune des sessions expose un cas concret, une leçon de coaching, une question et un exercice à faire. « C’est un livre de pratique, il n’y a pas de recette magique, chaque personne étant par nature différente », dit Mr Deslauriers.
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